Encore peu connu en France, le marché de l’assurance des biens personnels (autres que l’habitation et les véhicules) est en train de se développer à vue d’œil, boosté par l’intérêt croissant des Français pour la protection d’équipements qui coûtent de plus en plus cher.

Une assurance en déficit de notoriété

Si les smartphones qui franchissent la barre des 1 000 euros ont boosté la croissance des assurances affinitaires, l’envol des prix des autres équipements dits personnels pourrait bien en faire autant pour l’assurance de biens personnels. Aujourd’hui en France, force est de constater que cette dernière reste encore peu connue, alors même que les besoins en matière de protection des équipements sont croissants, spécialement durant la période de confinement. C’est en tout cas ce qu’a démontré une étude Happydemics pour Parachut Assurance, menée auprès de plus de 1 000 personnes, qui révèle que l’assurance de biens personnels souffre d’un déficit de notoriété et ne fait pas encore partie des habitudes des Français. Pourtant, ce type d’assurance propose de couvrir des équipements souvent exclus de la protection tels que les engins de mobilité personnels (vélo, trottinette électrique…) ou encore les équipements de jardin.

Pourquoi opter pour une assurance de biens personnels ?

L’assurance de biens personnels gagnerait à être connue, et pour cause… Tout d’abord, elle permet de couvrir l’ensemble des équipements d’un foyer contre la plupart des sinistres : casse, panne, vol, perte… De plus, au-delà des appareils multimédias, elle peut également s’étendre aux outils électriques de bricolage et aux appareils de santé ou de beauté. Des équipements que peu de Français pensent aujourd’hui à protéger, malgré tous les dangers qui les guettent au quotidien. Par exemple, vous ne le savez peut-être pas, mais les équipements sportifs sont particulièrement sujets au vol. Quand on sait qu’un VTT de moyenne gamme peut coûter jusqu’à 1 000 euros, ça donne matière à réflexion…