Telle mère, telle fille, dit-on. Il semblerait que la société d’assurances de BNP Paribas ne semble pas vouloir contredire cet adage populaire. En effet, la filiale rêve grand et ambitionne de reproduire le schéma réussi de sa maison mère. Comment ? Les réponses ici.
2025, une année de grands changements
De l’analyse du planning de la société filiale d’assurances BNP Paribas Cardif, il en ressort que c’est vraisemblablement l’ambition visée. En effet, BNP Paribas Cardif veut casser les codes et cocher toutes les cases de sa feuille de route pour cette année-là. Et si les contours des plans et stratégies à adopter sont encore loin d’être connus, chacun reste à l’affût de nouvelles informations ; les seules connues restant les axes réglementant leur stratégie en lien avec la croissance, la technologie de pointe et la stabilité économique.
Les attentes de la société filiale d’assurance sont élevées avec la capitalisation maximale et effective de tous ses acquis obtenus par le passé pour le compte de l’année 2025. Au terme de ce délai, la filiale souhaiterait connaître une croissance de son produit net bancaire approximative de 13,5% en moyenne avec un chiffre d’affaires vertigineux. Pas mal, n’est-ce pas ? Seulement, comment s’y prendra-t-elle pour imiter sa maison mère ?
Épargne et protectionnisme
Pour ce faire, BNP Paribas Cardif mise sur des politiques d’épargne, de protection et d’expansion à l’échelle internationale. Il s’agira pour la filiale d’assurance de maintenir/établir des relations partenariales avec les collaborateurs et investir sur des pays aux économies émergentes dotées d’un fort potentiel et dont les besoins de protection et d’assurance restent insatisfaits. Par ailleurs, BNP Paribas Cardif compte gagner son pari en mettant un point d’honneur à instaurer des dynamiques de travail innovantes dont la portée sera la simplification de la vie sociale avec la facilitation d’accès aux assurances. La promotion d’une politique d’investissements sécurisés et engagés figure également au rang de leurs stratégies.